Quelques jours ont passé depuis l’annonce du Prix Nobel de littérature et la tension est légèrement tombée. On aura rarement vu une telle levée de boucliers à l’annonce d’un Prix Nobel.
Qu’en dire ? On aurait dû se sentir fier qu’une femme française de surcroît soit nommée au titre sublime de Prix Nobel. que tant décrivains rêvent d’afficher un jour, couronnant une carrière d’écrivain.
Récompensée pour « le courage et l’acuité clinique avec laquelle elle découvre les racines, les éloignements et les contraintes collectives de la mémoire personnelle ». Rien qui ne fait référence à lla littérature telle qu’on l’entend, on se situe davantage sur un plan des idées politiques, sociologiques que sur le plan littéraire. Est-ce ce qui a choqué ses détracteurs qui voient en elle plus une écrivaine autocentrée dont l’œuvre est exclusivement autobiographique et placée sous l’angle de la sociologie.
A l’annonce de son Prix, n’estimant pas mériter la reconnaissance littéraire, elle glisse vouloir « écrire quelque chose sur la perspective féminine et sociale » et continuer le combat contre les injustices » en rappelant l’importance renouvelée du combat féministe, dont le droit à l’avortement pour lequel elle se battra « jusqu’au dernier souffle ».
Répondre
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.