Classé dans les romans graphiques, par l’alternance de texte et de dessins, ces derniers de Véronique Dorey rattrapent ce texte plutôt glauque et incomplet.
Rubrique aussi courte que l’histoire qui en quelques pages seulement se résume à :
Je vivais chez Rosa Luisa presque centenaire qui passait son temps à la fenêtre à attendre son amoureux disparu, sa sœur était pute, son autre sœur était morte, c’était ma mère et la dernière était folle.
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