Ce roman semble avoir été proposé au cercle par une suite de malentendus. Toutefois son origine argentine plaidait en sa faveur.
Parmi les présents, le sentiment général était que le livre était léger, peu intéressant, vide. Certains contestaient son caractère de polar, d’autres regrettaient de ne rien y apprendre de l’Argentine.
Les sentiments étaient variés, beaucoup n’y ont vu aucun humour, mais la lecture de certains extraits pendant la discussion nous ont fait rire. L’histoire a été aussi considérée comme épouvantable, avec des personnages qui sont idiots (surtout Inès), menteur (le mari) et perdue (la fille)…
Certains ont pensé à des références cinématographiques, Hitchcock pour l’échange des meurtres (L’inconnu du Nord-Express), Les frères Cohen (Fargo) pour les malentendus et l’obstination de l’épouse, Almodovar.
Le style a été diversement apprécié, certains l’ont trouvé plat, d’autres ont apprécié le rythme enlevé et les chapitres courts.
Les avis par mail étaient moins négatifs. « Un jeu de rôles très cyniques, un monde irrespirable de névrosés » où chacun se raconte des histoires, Inès comme bonne épouse, Ernesto comme bon père, Lali comme une fille sans famille. Autre point de vue, un livre presque drôle qui critique la société moderne argentine. Pour tous, une famille où personne ne communique.
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