Ce livre a été choisi en l’honneur de Lucie qui l’avait proposé et parce que l’auteur  Kazuo Ishiguro(prix nobel) avait laissé le souvenir des Vestiges du jour.

En un mot : Les avis sont partagés.

Il y a eu de l’ennui à  le lire surtout au début, quand Klara est dans sa vitrine.  Ou bien à comprendre où l’auteur veut en arriver

Certains n’aiment pas la Science Fiction, bien qu’on se rapproche réellement du monde décrit dans le livre. En particulier au Japon, qui a de moins en moins d’enfants. La compétition scolaire y est féroce et laisse ceux qui s’en sortent  (les « relevés » aussi malades que les « non relevés » Rick, la sœur de Josie ? Une des scènes montre la tentative de clonage humain, « refaire » une Josie. C’est pourquoi Françoise s’est félicitée de la fin, le robot ne remplace pas l’humain. Et que Rick, qui ne veut plus rentrer dans le jeu apparaît comme un résistant.

Ce livre nous questionne sans donner de réponses : le soleil est-il une sorte de dieu, ou un simple nutriment pour faire marcher la batterie solaire de Klara ?

Le monde sera –t-il de plus en plus pollué (cf la machine de pollution) ?

Les bonnes pommes, dont je suis, ont sympathisé avec Klara, qui est d’une politesse renforcée par le style de l’auteur quand Klara s’adresse aux différents personnages  qui a des sentiments, essaye d’arranger les choses, du coup sa fin dans une déchetterie nous attriste.

Nous avons passé un moment drôle à nous imaginer Klara ? Une poupée, une machine en acier avec de grands yeux ? Chacun y a été de son idée.

Au total les avis négatifs l’emportent, mais tout le monde l’a lu jusqu’au bout et s’est intéressé à la discussion.